Un anniversaire qui tourne mal: Josepha AGBESSI signe son premier roman « Aimer, c’est mourir « 

Les décès, en Afrique, ne sont jamais fortuits. Une pile de questionnements chamboulent à chaque fois les esprits sur les causes de cette disparition. Le nouveau roman de Josepha AGBESSI illustre parfaitement cette réalité. Dans cette œuvre, les méninges s’allient à l’occultisme pour faire sortir les vérités du placard. Cette œuvre de l’esprit a été célébrée ce samedi 7 septembre 2024 à Lomé.

« Aimer, c’est mourir », c’est le nom du premier roman de l’auteure et écrivaine Josepha AGBESSI paru au édition « Encres Universelle du Bénin ».
Dans ce baptême de feu de 294 pages, la chute libre du haut de l’étage d’une jeune fille , gâche l’anniversaire d’Emilie, caricature parfaite de la beauté.
Suicide ? accident ? Ou meurtre? Ce drame fait de toute personne présente à cette parenthèse festive un suspect. Personne ne sera mis hors du panier. Même Émilie, le personnage principal est considérée comme suspecte. Le décès tragique de son amie renseignait peu. Tout le mystère est là. Les invités sont passés en revue, eux qui pourtant ont fait le déplacement de leur bien aimé pour un anniversaire façonné d’un attirail de plats d’entrée, de mets fumants et de breuvages rafraîchissants.

Josepha AGBESSI, à travers son nouveau roman « Aimer, c’est mourir » fait voyager ses lecteurs dans l’occultisme et des interrogations avec pour objectif de rassembler les pièces à conviction autour de ce drame et percer le mystère.

L’auteure n’est pas à son premier essai. Josepha AGBESSI est auteure d’un éponyme intitulé « APPARENCE », rendu public le 26 mars 2022 à l’institut français du Togo.

Remontons le temps de ses prouesses

Josepha AGBESSI a découvert son amour pour l’art en général, la littérature en particulier tôt. Cadette d’une fratrie de quatre, les livres de sa mère ont été ses jouets d’enfant.
Avec une imagination débordante, la petite lectrice se transforma très vite en celle qui tente une plume.
Après un parcours riche d’apprentissage, Josepha AGBESSI s’est donnée les moyens pour grandir dans son art. Jeune écrivaine togolaise, elle est également slameuse et technicienne de laboratoire de profession.
Sacrée Prix Écrivains Fulmanistes 2021, un concours d’écriture inter-ouest africain, Lauréate du Prix Écrivains Humanistes 2021, ces distinctions ont constitué pour Josepha AGBESSI, une porte d’entrée dans l’arène littéraire et dans le cercle privilégié des auteurs.
Pour cette talentueuse ecrivaine, les rêves sont encore grands et il n’y a pas d’auteur accompli sans ses lecteurs. Écrire pour elle est la meilleure manière d’exister, de vivre mille vies en une, de se donner aux autres et de laisser son empreinte ici bas.
Son premier roman « Aimer, c’est mourir » dans les éditions « Encres Universelles du Bénin » n’est que le début d’une consécration.

NPA

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