Togo/L’UPF-Togo consternée par la détention des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah

La liberté de presse togolaise, est-elle menacée?
Le débat autour de la presse se cristallise autour de l’article 490 du Code pénal depuis l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Le droit d’informer semble lourdement mise à mal au Togo. L’Union Internationale de la Presse Togolaise section Togo (UPF-Togo) se dit consternée par la détention des deux journalistes.

COMMUNIQUE

UPF-Togo consternée par la détention des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah.

L’Union Internationale de la Presse Togolaise section Togo (UPF-Togo) est consternée par la détention des confrères Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal « L’Alternative » Joël Egah, Directeur de publication de « Fraternité » dans le cadre d’une procédure judiciaire.

Elle considère non seulement ces arrestations comme étant regrettables, mais comme un véritable recul en matière de liberté d’expression au Togo.

L’UPF-Togo sollicite auprès des autorités compétentes la libération de ces confrères.

Par ailleurs l’UPF-Togo se réjouit que Isidore Kouwonou, Rédacteur en Chef de L’Alternative, lui aussi, convoqué ce vendredi 10 décembre 2021 à la BRI dans la même affaire était rentré dans la soirée de cette journée.

Espérant un rapide et heureux dénouement de cette situation, l’UPF remercie par anticipation les autorités compétentes et exprime de nouveau son attachement au libre exercice du métier de journalisme, notamment en cette période de pandémie où les professionnels des médias sont au premier plan de la sensibilisation .

Fait à Lomé le 11 décembre 2021

Pour le Bureau exécutif

Loïc Lawson

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