Projet SERILO: Les parties prenantes dressent le bilan
Lancé par l’Agence Adventiste d’Aide et Développement au Togo (ADRA Togo) en collaboration avec le Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT), avec l’appui financier de ADRA Allemagne et du Ministère Fédérale Allemande de la coopération économique et du développement (BMZ), en faveur des préfectures de Yoto, Ave et Zio, le projet intitulé « Renforcer la résilience économique et améliorer les moyens de subsistance des petits exploitants vulnérables de la région côtière du Togo » (SERILO) est arrivé à terme de son exécution. Les parties prenantes étaient en évaluation le 21 novembre à Tsevié.
« En effet, le projet intitulé ( Renforcer la résilience économique et améliorer les moyens de subsistance des petits exploitants vulnérables de la région côtière du Togo) a été mis en œuvre pour une période de trois ans dans le but de
de réduire la pauvreté en milieu rural et de faire connaître aux personnes vivant dans les milieux ruraux leurs droits en tant qu’individu », a précisé Séraphin KEKEH, Coordonnateur du projet SERILO.
Sur le premier volet piloté par ADRA TOGO, le projet vise à améliorer les moyens de subsistance de trois cent (300) exploitants agricoles de la région maritime à travers l’appui à la production du Moringa et de l’Hibiscus. Sur le volet droits de l’Homme , il est prévu que le CACIT renforce les capacités de la cible sur les notions de droits de l’Homme, la citoyenneté et les procédures d’établissement des actes d’état civil et pièces d’identité.
Le projet SERILO arrivera à son terme le 30 novembre 2023. À la veille de cette fin de parcours, les parties prenantes ont trouvé nécessaire de se retrouver pour un bilan des activités menées durant la mise en œuvre.
« Il s’agit d’identifier les succès obtenus et les différents points à améliorer afin de consolider les acquis du projet et baliser la voie à des prochaines actions en faveur du développement.
C’est ce qui justifie les travaux de Tsévié le 21 novembre dernier. Cette rencontre s’est appuyée sur une méthodologie alliant méthodes qualitatives et quantitatives », a indiqué AMETANA Komlan, Coordonnateur du volet droits de l’homme CACIT.
L’occasion a été donnée à chaque coordonnateur des deux volets du projet de rappeler les grandes lignes du projet et les effets attendus de ce dernier.
Des recommandations sont issues de ces travaux et seront transmises à qui de droit.
Pour rappel, depuis quelques années, le CACIT initie des actions de renforcement des capacités sur les notions des droits de l’Homme dans les écoles, à l’endroit des groupes constitués, en faveur des populations rurales et autres acteurs du secteur informel. Fin